guerre d'indochine chronologie
guerre d'indochine chronologie
Guerre 39 - 45; Guerre d'Indochine; Guerre d'Algérie; Opérations extérieures : Maroc, Tunisie, Liban, etc... Commémorations; Education. Philippe de Baleine et Willy Rizzo, « Dans Na-Sam assiégée », Paris Match, no 194, 29 novembre-6 décembre 1952. Par ailleurs, pendant la Seconde Guerre mondiale, l'état-major allié (américain) en Asie avait décidé en 1942 de séparer l'Indochine en deux zones géographiques de combat, étant entendu que le Nord du 16e parallèle sera occupé par les Chinois nationalistes de Tchang Kaï-chek et le Sud du 16e parallèle par les Britanniques. En 1884, la France réunit la Cochinchine, l'Annam et le Tonkin (qui composent maintenant le Viêt Nam), ainsi que le Laos et le Cambodge au sein de l'Indochine française. Chronologie de la guerre d'Algérie, par Juliette Cua; Bibliographie. Le MRP est alors l'épine dorsale, sur la question indochinoise, de la "Troisième Force" qui l'associe aux radicaux et à la SFIO, mais toujours sur la défensive sur l'Indochine, ces trois partis ne se « réconciliant que sur la réduction des crédits militaires »[29]. Fin de la guerre d’Indochine. En perte de vitesse, mais moins que le MRP, aux législatives de 1951, elle a vu 3 ans avant son leader historique Léon Blum signer en 1948 un article dans le grand quotidien du parti Le Populaire pour demander des négociations avec le Việt Minh[83]. Réaction française et guerre d’Indochine (1946-1954) 20 décembre 1945 : Création du franc CFA. En 1946, début de la guerre d’Indochine. À peine arrivé en octobre 1945, d'Argenlieu demande à Jacques Fischbacher[35], un ex-planteur de caoutchouc qui avait animé localement la "France Libre" avec Pierre Boulle, futur auteur du film Le Pont sur la rivière Kwai[36] de relancer l'ancienne Agence radiotélégraphique de l'Indochine et du Pacifique (ARIP) liée à l'agence de presse Havas et au monde colonial, avec son émetteur exploité par la CSF, diffusant jusqu'en Australie[37]. Environ 60 % des prisonniers [192] ne reviendront jamais. Son opposition à la Guerre d'Indochine le prive de Martial Bonis-Charancle, secrétaire général administratif, qui avait joué un rôle-clé dans la naissance du Monde[74], qui sort de son bureau en lançant: « Vous avez un clairon qui ne sonne que les défaites! Le Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient (CEFEO) reprend progressivement le contrôle de l’Indochine. Cette séparation, approuvée ensuite par l'URSS, fut entérinée par les accords de Potsdam. Ruscio (Alain), Les communistes français et la guerre d’Indochine 1944-1954 [CFGI], Paris, L’Harmattan, 1985, 426 p. Sheeham (Neil), L’Innocence perdue, un Américain au Vietnam, traduit de l’américain, Paris, Seuil, 1991. Certaines unités réussirent à se dégager et à entreprendre une remontée vers la Chine (la colonne Alessandri par exemple) ou à tenir la jungle (des hommes des Jedburghs ou de la Force 136, parachutés pour monter des maquis anti-japonais et entraînés par les Britanniques en Inde et en Birmanie, certains de ces hommes reprirent plus tard les villes de Vientiane et Savanaketh au Laos). Il faudra attendre une convention franco-vietnamienne de 1949 pour scinder Radio Saïgon en deux : « Radiodiffusion du Vietnam », moins coloniale, et Radio France-Asie, qui emploie 140 personnes et recoure cette fois à signatures prestigieuses de la presse écrite: Yves Desjacques du Figaro et Max Clos du Monde. Les conflits : La guerre d' Indochine Chronologie 1930 : - Fondation du Parti communiste indochinois; 1939-1940 : - Déclenchement de la 2ème guerre mondiale - Intrusion japonaise au Tonkin - Maintien en place de l'Administration française; 1941 : - Création de l'Alliance pour l'Indépendance du Vietnam; 1942 : - Ho Chi Minh rentre au Vietnam quitté en 1911; 1945 : - 9 mars Coup de. La mise en forme de cette section ne suit pas les recommandations concernant la, L'échec des accords : la scission en deux États, À l'issue du conflit mondial : 8 ans de conflit armé en Indochine, Décision politique (mars 1945 - septembre 1945), Octobre 1945 : Leclerc et d'Argenlieu sont à Saïgon, En juillet 1946, Leclerc rentre en France, Rupture politique et militaire (novembre - décembre 1946), Une guérilla sanglante, sans possibilité de faire marche arrière, Demande infructueuse d'un soutien américain à la décolonisation (Nord), Le tournant de 1949 : la Chine s'implique pour soutenir le Nord, La création de l'État du Viêt Nam par la France au Sud, Un changement majeur en Chine devenue communiste, A compter de 1950 : l'enlisement à grande échelle, L'aide des États-Unis à la France ne suffit pas, La guerre d'Indochine vue de la métropole française, Deux généraux portés sur la communication, De nouveaux statuts pour l'AFP et Le Monde, Naissance des hebdos d'actualité L'Obs et L'Express, Difficultés de L'Aurore et Paris-Presse, virage de Paris-Match, La presse communiste perd son lectorat populaire, L'Église de France et d'Indochine divisée, Le PCF très engagé à partir de la fin 1949, L'opposition à la guerre dans les entreprises, Les cinéastes, peintres, écrivains et la censure, Les actes d'opposition de civils à la guerre, Otages du Việt Minh et camps de rééducation, Détail des forces françaises en Indochine, L'amiral Thierry d'Argenlieu a pesé lui-même chaque mot, « défense de l’Occident sur le Rhin et le, « lobby, militaire, civil et financier en faveur d'un renforcement de l'effort de guerre », « l'indifférence engendra l'acquiescement à l'inévitable », « la métropole traite le corps expéditionnaire comme une immense Légion étrangère », « la France reconnaît la République du Viêt Nam comme un État libre ayant son gouvernement, son Parlement, son armée et ses finances », « comme des plénipotentiaires importants », « se gagnera d'abord avec le soutien de l'opinion publique », « d'âpres marchandages ont lieu dans le bureau des censeurs », « contre eux une guerre plus efficace que contre le Vietminh », « confirme la valeur de ces troupes et l'autorité de ses chefs », « un tournant dans la guerre d’Indochine », « verrouille tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à une contestation de la politique française », « votre directeur général prendra sur lui d'assumer la responsabilité de ce pour quoi vous étiez dénoncés par un pouvoir excessif », « chargée d'étudier les réformes de l'AFP et de préparer un projet de statut », « prônant l'autonomie de l'Indochine et montrent l'impossibilité de la reconquête », « Vous avez un clairon qui ne sonne que les défaites! La France fonde en 1949 l’État du Viêt Nam, gouvernement central vietnamien proposant une alternative politique à Hồ Chí Minh, et le dote d'une force militaire, l’Armée nationale vietnamienne, afin de « vietnamiser » le conflit. Ici l'insuccès est certain… Il faut garder le Viêt Nam dans l'Union française, voilà le but, même s'il faut parler d'indépendance. Le viet-minh tient tête au corps expéditionnaire français qui est battu à Dien BienPhu. En 1952, deux ans avant la fin, seuls les électeurs RPF sont majoritairement (52 %) pour continuer l'effort de guerre mais en mai 1953[60], il n'y a plus un seul électorat favorable à la guerre: c'est le cas de seulement 18 % des électeurs SFIO, 28 % des RGR, 30 % des MRP, 29 % des « modérés » et 46 % des RPF. Guerre d'Algérie; Liens externes. En octobre 1945 un ancien de l'Office français d'information (OFI), Michel Peutin, ouvre le bureau de Saïgon [62], avec Jean Hertrich et Jacques Dauphin, ex-résistant gaulliste emprisonné sous l'Occupation à Long Xuyen, réintégré ensuite dans l'armée, puis arrêté et torturé par les Japonais en 1945[62]. Pour consolider son anticolonialisme, Hubert Beuve-Méry publie l'hebdo Une semaine dans le Monde, d'avril 1946 à septembre 1948 [73]. Evoqué dans l’ouvrage du trostkiste Ngo Van (1913-2005) "Au pays de la Cloche fêlée. Parmi eux Les Dockers de Georges Bauquier, et son inscription Pas un bateau pour l'Indochine et La Riposte, vaste fresque épique de 2,20 × 3 mètres, peinte en 1950 par Boris Taslitzky, probablement inspirée d'articles de presse[182], qui représente les dockers de Port-de-Bouc, repoussant les assauts des CRS et des chiens policiers, avec une Marianne brandissant le drapeau républicain. Au RPF, qui voit peu à peu affluer les partisans de la guerre, le leader De Gaulle a exclu tout meeting sur le sujet[29] et salué « avec soulagement et quasi-gratitude une fin scellée »[29] en 1954-1955 par Pierre Mendès France. Elle diffuse toujours 161 000 exemplaires en 1954, devant Le Monde (155 000 exemplaires)[146], malgré la crise générale de la presse française en 1952, qui l'a vue tomber à 140 000 exemplaires, et la fonte d'un tiers des effectifs militants du PCF entre 1951 et 1953. Toutefois, en parallèle de la conférence de Genève en juin 1954, l’empereur Bao Dai, chef de l'État du Viêt Nam, a rappelé des États-Unis Ngô Đình Diệm pour en faire son Premier ministre. Malgré l'intervention indirecte américaine, la France, dont les forces militaires étaient exténuées par la résistance adverse et plusieurs années de combats de plus en plus impopulaires en métropole, dut renoncer après la lourde défaite de Diên Biên Phu de mai 1954. Le Monde et Franc-Tireur[131] rapportent que dès avril 1948 que dix de ses militants sont poursuivis devant la 17e chambre correctionnelle en raison d'une affiche " contre la guerre d'Indochine, et défendus par l'avocat gaulliste de gauche David Rousset qui les a connu dans la Résistance[166]. les manifestations et blocage de trains de munitions en partance pour l'Indochine, évoquées dans la chanson, les mobilisations (brochures à grand tirage, pétitions, etc) lors de l'. Franc-Tireur soutient la cause anticolonialiste via les articles de Madeleine Jacob [82] et Claude Bourdet[59], mais la diffusion qui était encore de 370 000 exemplaires chute, quand ils partent avec une partie de la rédaction fusionner avec Libération, plus investi dans l"anticolonialisme, également soutenu par Témoignage Chrétien etCombat[83], où Bourdet a été désigné en mai 1947 par Albert Camus pour lui succéder comme éditorialiste[84]. Actes du colloque de l'Institut Pierre Mendès France des 11 et 12 janvier 1988, par Michel Margairaz, Institut Pierre Mendès France, aux Editions, "DECOLONISATION : DEUX PATRONS EN AVANCE D'UNE GUERRE" par, "Comment ils ont fait fortune" par Merry Bromberger aux éditions Plon, 1954, "Guide bibliographique de la presse", par. Dès la fin de 1946, le directeur du cabinet de d'Argenlieu tente d'étendre son influence à la presse écrite: il convoque René Dussart, correspondant de Paris-Presse après une dépêche du 20 décembre décrivant des bavures « commises par des militaires français sur la personne d'Annamites du Viêt-minh » qui avait entraîné un éditorial au vitriol de Franc-Tireur, mentionnant la lettre d'un soldat français comparant les faits au Massacre d'Oradour-sur-Glane. Le conflit peut être divisé en deux phases historiques. Le mémorial des guerres en Indochine se trouve à Fréjus : environ 34 000 noms y sont inscrits. Plus arrangeant, son comparse Philippe de Baleine avait écrit maladroitement, fin 1952, que Mgr Le Huu Tu, ex-conseiller de Ho Chi-Minh [104] en froid avec lui, est le « meilleur allié des Français »[34],[105], alors qu'il a en réalité souvent caché des concentrations de troupes viêt-minh dans son évéché[34] et que « jamais ses relations avec les chefs militaires français ne furent aisées »[104]. Et les appels à la lutte contre l'oppression, au combat pour l'indépendance, les soldats vietnamiens en écrivaient en français avec de grandes lettres blanches, dans les villages, comme le faisaient les mômes du FTP, les anciens des Jeunesses communistes, quand ils se battaient contre les nazis. En tout, entre 1951 et 1954, les États-Unis déboursent 1,525 milliard de dollars[25] (15 milliards actuels). La guerre de reconquête coloniale se transforme alors progressivement en une guerre civile[non neutre]. Dans l'autre camp, malgré un puissant « lobby, militaire, civil et financier en faveur d'un renforcement de l'effort de guerre », ce dernier n'eut « guère de prise sur l'opinion »[29] et « l'indifférence engendra l'acquiescement à l'inévitable », la fin de la présence française en Indochine[29]. En 1953, 28 % aussi des électeurs RPF sont partisans de négocier et de retirer les troupes[60]. À 20 heures, une explosion dans la centrale électrique de la ville annonce le début de l'insurrection. En 1952, l’armée populaire vietnamienne lance des attaques contre les fortins de la « Ligne De Lattre » derrière laquelle se sont retranchées les troupes françaises. Quatre mois plus tard l'autorité française est rétablie au protectorat du Cambodge et dans la colonie de Cochinchine (Sud du Viêt Nam actuel). Dès 1947, son patron a préféré « un Belge qui connaît parfaitement » le Vietnam et défend le Viet Minh, car l'AFP « verrouille tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à une contestation de la politique française »[65]. Entre Révolution nationale, collaboration Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. "Le Mouvement de Libération du Peuple" par Meixin Tambay. L'Indochine est un ensemble de provinces asiatiques qui faisaient partie de l'empire colonial français. François Méjan, conseiller d'État (1960-1978), conseiller juridique de l'Église réformée de France, et président de la Société de l'histoire du protestantisme français (1978-1982)[157],[158] écrivit même que le clergé travaillait « à la sécession totale de la France d’outre-mer » et « favorisait les revendications nationalistes d’indépendance totale »[159]. Les accords de Genève, signés en juillet 1954, consacrèrent le départ des Français du Nord du Vietnam (Tonkin) et la division du Viêt Nam en deux, la limite étant le 17e parallèle : d'une part la République démocratique du Viêt Nam au nord, communiste, d'autre part le Centre et le Sud sous administration française, avec des élections prévues en 1956 pour réunifier toute l'ancienne colonie, alors séparée en deux. C’était « le combat du tigre et de l’éléphant » annoncé par Hô Chi Minh : le tigre tapi dans la jungle allait harceler l’éléphant figé qui, peu à peu, se viderait de son sang et mourrait d’épuisement. La chronologie simplifiée rassemble les événements politiques , militaires et internationaux les plus marquants de la Guerre d'Indochine. Complément photographique du «Journal d’Indochine 1949–1951» du gendarme Bernard Crombèke. Certains otages, comme l'administrateur colonial René Moreau capturé en 1946, sont gardés prisonniers durant huit ans. Des pourparlers de paix sont entamés à Genève en 1954, alors même que sa défaite lors de la bataille de Diên Biên Phu met la France en situation de faiblesse psychologique. BODIN Michel, Les Africains dans la guerre d'Indochine, 1947-1954, 2000, 240 pages, coll. Le général Gras conclut au sujet de Diên Biên Phu : « il n'y a pas de places fortes imprenables lorsqu'on renonce à les secourir. Quelques communistes étrangers, dont des Français, prêtent main-forte au Việt Minh dans cette entreprise. nécessaire]. Chronologie. L'évolution de l'opinion publique est marquée par deux grands tournants. Par la suite, subissant la concurrence des nouveaux hebdomadaires, sa diffusion sera divisée par trois en seize ans, passant de 1 800 000 exemplaires en 1958 à 550 000 en 1975[110]. Le quotidien du Parti socialiste belge, Le Peuple, ouvre ses colonnes à des socialistes français de toutes tendances[47] sur la question de l'Indochine. Elle concernait essentiellement le Viêt Nam. cinquante ans de passions françaises, 1954-2004", par Alain Ruscio, Serge Tignères Editions Les Indes savantes, 2005, Selon la thèse consacrée au sujet par Delphine Robic-Diaz: "La Guerre d’Indochine dans le cinéma français. Les nations unies coupent le pays en deux en le séparant par une zone démilitarisée. Le général de Lattre de Tassigny est envoyé en Indochine pour redresser la situation mais doit immédiatement faire face à des offensives Việt Minh. Et début 1950, la question de l'Indochine l'amène à traiter de « néofasciste » Henri Frenay[88]. En octobre 1951, le général de Lattre tenta de convaincre le pape Pie XII, par un voyage à Rome d’intervenir en faveur de la France auprès des évêques et des notables catholiques du Viêt-nam[34]. La guerre d'Indochine est ainsi la première d’une série de trois guerres qui se sont déroulées sur les territoires de l’ancienne Indochine française : elle a été suivie par la guerre du Viêt Nam (en parallèle de deux conflits annexes, la guerre civile laotienne et la guerre civile cambodgienne), puis par la guerre sino-vietnamienne qui clôture le tout. Beaucoup de prisonniers militaires français passent dans des camps d'internement, situés dans les régions sous contrôle indépendantiste. Lorsque le Parti communiste chinois de Mao Zedong prend le contrôle de la Chine continentale, le Kuomintang de Tchang Kaï-chek se réfugiant à Taïwan, la Chine devient un allié de la République démocratique du Viêt Nam et du Việt Minh. »[60]. Le reporter Jean Lartéguy, futur Prix Albert-Londres (1955)[50], est aussi un ex-militaire devenu correspondant de Paris-Presse. », « Détruire le Vietnam c'est détruire la France », « jamais ses relations avec les chefs militaires français ne furent aisées », « œuvre de propagande pour soutenir le moral du lecteur français », « sacrifie sans compter ses hommes et ses milliards », « dès le danger communiste passé, il faudra, de toute façon, que la France s'en aille », C'est le seul capable de rafraîchir son contenu sept fois par jour, par sept éditions tout au long de la journée, « son discrédit par les critiques internes et externes qui lui furent adressées », « nombre de syndicalistes, catholiques et intellectuels », « réconciliant que sur la réduction des crédits militaires », « voit sa survie outre-mer dans la dissociation claire entre colonisation et christianisation », « avec soulagement et quasi-gratitude une fin scellée », « critiquent systématiquement tout ce qui se fait en Indochine », « « des Allemands, anciens soldats de l’Afrika-Korps de Rommel, faits prisonniers en Afrique », « insiste sur le caractère irrésistible et irréversible d’un processus », « fédérée par l'arbitrage et le ciment de la civilisation française, cesserait d'exister le jour même où elle viendrait à l'indépendance », « jeta toutes sa force militante dans une bataille contre la sale guerre avec des arrière-pensées très franco-françaises », « signé les instructions aux troupes françaises », « Il arrive justement où tu ne peux plus supporter le travail qu'on te fait exécuter… Le drapeau rouge, nos adversaires — les « Viet » comme ils disaient à l'armée — l'arboraient fièrement en nous donnant l'assaut ! II. Peu à peu, les Français perdent du terrain. C'est le seul capable de rafraîchir son contenu sept fois par jour, par sept éditions tout au long de la journée[réf. » [74] puis claque la porte en décembre 1947[74]. Tout en continuant les coups de main et les embuscades, l’armée populaire se retire pour se préparer à des opérations à une plus grande échelle. 1. C'est également le cas de 38 % des « modérés », 43 % des électeurs RGR, 61 % des socialistes et la totalité au PCF[60]. Son directeur Philippe Boegner ne supporte plus les correspondants de guerre habituels[102]. À la suite des persécutions orchestrées par le Việt Minh et subies par les Vietnamiens catholiques et loyalistes, s'ensuivit la plus importante opération d'évacuation de l'Histoire, l'opération Passage to Freedom[196]. — Général Yves Gras, Histoire de la guerre d'Indochine, Éditions Denoël, 1992, p. 561. Le tirage augmente rapidement, la maquette offrant une large place à la photographie[99].
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